Cette île est sans conteste la plus fournie en compétiteurs de tout South Blue, voir même de toutes les quatre Blues. Le fait est qu'une fois mis les pieds sur l'île, il faut se tenir prêt à livrer combat à tout instant. Car les gens qui y vivent ressentent en permanence le besoin de tester leur capacité, de surpasser leur limite et de connaître la gloire. Autrefois, on y trouvait que de petites salles d'entraînement, tenues par des hommes souhaitant plus s'enrichir qu'enseigner quoique ce soit. Tavernes et habitations s'y faisaient rares, le commerce ne fonctionnait pas.

Ce qui a changé en 50 ans :

Aujourd'hui, il n'y a pas une parcelle de terrain qui n'a pas été exploité par l'homme. Les natifs de l'île ont trouvé l'idée grandiose pour attirer les touristes et relancer le commerce des environs. Les salles d'entraînements se sont développés, améliorés, dirigées désormais par de véritables connaisseurs en arts martiaux. Chaque dojo enseigne un art du combat différent, apportant ainsi une grande diversité chez les combattants et assurant de satisfaire les besoins tous types d'apprentis. Boxe, capoeira, judo, kung-fu, lutte, catch etc. libre à chacun d'apprendre discipline de son choix.

Et une fois son apprentissage abouti, l'élève peut alors se lancer dans le bain. Partir à l'assaut des arènes afin de gagner les titres et accumuler la gloire. Arènes de tous types, battre le champion et prendre sa place, brandir la ceinture représentant le titre, est l'objectif de tous combattants de l'île. Et une fois fait, il faudra alors défendre sa ceinture contre les hordes de challengers qui voudront vous en destituer. Tout cela, jusqu'au grand tournois ayant lieux une fois par an. Celui qu'aucun ne veut rater tant il assure gloire et pouvoir à celui qui le remporte.

Tout cela, mais pas que. Le commerce s'étant développé, on y retrouve donc forcément plus de tavernes, d’hôtels, et autres magasins attirant les étrangers. Il y a aussi les rings en extérieur, où débutants comme professionnels peuvent s'y affronter durant la journée, comme la nuit. On raconterait même que des combats clandestins seraient organisé la nuit, dans les sous-sols de nombreux bars et que l'accès seraient réservés uniquement aux hommes.