Hasamata MobuchiCommandant
Messages : 10 Points Omega : 2 Fonction : Navigateur Localisation : North Blue
Database Capacité 1: Style de combat: Jō-Maŋ-Jū Capacité 2: | Sujet: Presentation Hasamata Mobuchi (terminé) Dim 18 Aoû - 22:36 | |
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HRP : Âge : 25 bientôt 42 Nom de votre avatar et œuvre dont il est tiré : Hirako Shinji de Bleach Comment avez-vous connus One Piece Omega ? Papa Ours, le corsaire à la patte de fer.
RP : Nom : Hasamata Prénom : Mobuchi Âge : 24 ans. Lieu de naissance : Mari Joa Race : Homme Métier/Rôle sur un navire : Navigateur But : Purger le monde de toute sa déchéance, exterminer tout être maléfique tel que les utilisateurs de fruits du démon et les homme-poisson. Prouver ainsi sa valeur à son père.
Capacité spéciale : Jō-Maŋ-Jū (Du fracas et de la caresse des vagues) Le Jō-Maŋ-Jū est un art martial particulier. Son nom quelque peu poétique est en réalité très proche de la réalité physique. En effet, cet art consiste en la maîtrise des énergies parcourant le corps : le chi. Dès lors, on peut, en frappant les points déconcentration du chi dans un bras par exemple pour rendre ce dernier amorphe et donc inutilisable au combat. On peut également utiliser au mieux sa propre énergie pour frapper plus fort avec moins d'efforts. Les maîtres sont ainsi capables de projeter leurs adversaires d'un simple coup de paume ou encore de provoquer des tremblements à l'impact capable de briser des objets physiques. L'art martial utilise donc des coups doux, telle les fameuses caresses des vagues pour contrer l'adversaire et des coups plus dévastateurs correspondant au fracas pour éliminer leurs ennemis. Entre les deux, existe de nombreuses prises et défense à l'image du ressac emprisonnant les baigneurs inconscients.
Grade : Commandant si possible grâce aux passes-droits de la préouverture.
Description de votre personnage :
Hasamata Mobuchi. Un être étrange et pour le moins dérangeant. La faute à son visage élancé et son menton en triangle. La faute aussi à cette rangée dentaire apparaissant au moindre mouvement de lèvres, à la moindre parole. L'entièreté de son visage est ainsi, comme possédant quelque chose qui cloche. Quelque chose d’invisible, impossible à nommer ou mettre le doigt dessus. Un simple instinct, un sentiment qui vous prend aux tripes, vous informant que quelque chose ne va pas chez ce gars.
Vous auriez raison. Lorsque l'esprit est modulé, formé à une telle extrémité, le corps lui-même est pris de stigmate, trahissant ses pensées. Chez Mobuchi, ce stigmate vient de multiples fractures dans son enfance. Alors que chacune serait assez forte pour bousiller une vie, lui les a accumulé pour en sortir dérangé et dérangeant.
Quand, en plus, s’ajoutent des tares physiques... Car l'Hasamata traîne avec lui, un ADN sali par la consanguinité. Des générations de mariages et de copulation entre frères et sœurs, oncle, nièce, neveux, cousin. Mobuchi est un Dragons Céleste. Ou plutôt, il est un bâtard. Une tache, un déchet rangé sous le tapis pour que personne ne le voit. On parlait de fracture mentale, en voici une belle. Un sentiment de rejet portée depuis sa naissance qui a forgé en lui un besoin désespéré de chercher l'amour de ses parents et notamment la reconnaissance de son père.
Élevé par des servants mais fournit régulièrement avec une éducation choisie, le privilège de vivre à Mari Joa qui plus est, le jeune homme est de ce côté-là, bien fourni. Il a vécu dans le luxe et l’abondance, il possède des attitudes fines et raffinées. Mais une éducation et une vie dans la cité au sommet du monde charrient aussi son nombre de détritus. Le fait de côtoyer les Tenryuubitos, même si ceux-ci ne lui adressaient pas un regard, a inculqué chez l'enfant qu'il était cette haine pour tout ce qui existe en dehors de leurs mondes. En particulier les immondices que sont les mélanges des races : homme-bête de tous bords ne mérite que la mort.
Cette pensée qu'il a développé, l'Hasamata l'a fait pour calquer sa « famille », celle qu'il voulait intégrer. Comme souvent dans ces cas-là, il a même dépassé ses maîtres pour se montrer encore plus légitime d'être leurs héritiers. Dans son esprit troublé, s'il est plus violent, plus racistes ou vindicatifs que les Dragons Célestes eux-mêmes alors, cela prouvera et rattrapera sa naissance hors du mariage.
Si sa vie, sa situation s'était arrêté à n'être qu'un simple rejeton oublié, le jeune homme aurait eu une vie de servant mais peut-être au final, plus heureuse. Malheureusement son père ne l'a pas totalement ignoré. Au début bien entendu mais dès que le patriarche de la famille, alias, René- Charles Lenôtre soit le grand-père de Mobuchi entendu parler du gamin... sa vie fut sceller. En effet, un Tenryubitto qui n'est pas un Tenryubitto. Ils avaient là sous la main une combinaison précieuse. Quelqu'un pouvant être envoyé en guise de bonne fois, tel un otage mais qui pouvait aussi facilement être sacrifié si la situation le demandait.
En somme, une pièce d'or composé de vague cuivre. On forma donc le jeune homme, l'autorisant à exister en toute bordure du monde Céleste. C'est cette position, à moitié dedans, à moitié dehors qui ne fit que grossir l'envie d'en faire totalement partie. Ce qu'avait totalement prévu le patriarche, transformant un enfant rejeté en plus fidèle serviteur. On l’envoyant aire ses armes dans la marine, enrichissant son expérience de techniques de combat, créant le simple pion qu'était Mobuchi en arme de guerre si besoin était.
Marine, pupille de l'état, rares sont les personnes à connaître l'origine véritable du commandant. Les Dragons Céleste se sont bien gardé d'acheter des titres à l'adolescent, créant un faux dossier et lui donnant le nom de sa mère, servante exécutée peu de temps après sa naissance. Durant ses pérégrinations, le garçon découvrit une religion possédant quelques adeptes : le marinisme. Il reconnut en cette haine des fruits du démon, la même haine qu'il portait aux « mélangés ». Pire que ça, ces créatures étaient des hommes tous ce qu'il y avait de commun mais des hommes purs. Ils se roulaient désormais dans les péchés, devenant des monstres, des bêtes que rien ne justifiait. Aussi s’engageât-il avec ferveur dans ce courant religieux. On pourrait croire que sa haine des homme-poisson l’empêcherait de suivre totalement les idéaux marinistes, notamment les « bienfait de la mer » et c'est le cas. Incapable de réellement s’intégrer, il développa sa propre vision de la religion où tous devaient plier le genou devant les hommes purs, soit les Tenryubittos, seuls seigneurs aptes à gouverner la terre.
En tant que soldat de la marine mondiale, Mobuchi a longtemps porté les vêtements réglementaires. Aujourd’hui encore, le bleu et le blanc sont les teintes majoritaires de son accoutrement. Ces derniers changent assez régulièrement, souvent en rapport avec la météo. Large manteau couleur des nuages possédants le kanji de la justice et le symbole de la mouette par-dessus un kimono sombre durant les temps de pluie ou simple chemise blanche avec une cravate et casquette bleue par un beau ciel d'été. L'Hasamata reste donc facilement identifiable par la populace. Un sentiment qui coule en lui comme du miel dans le trou de son âme, là où la reconnaissance de son père n'a jamais vraiment existé.
Histoire :
Chapitre 1 : Rêve d'Enfance.
Hasamata Mobuchi est né il y a de ça vingt quatre ans sur la magnifique, magistrale, sainte Mari Joa. Sa mère n'était qu'une servante auprès des tenryubittos bien que le mot servante ne lui rend pas justice. Sur cette terre sacrée, tout est magnifié, tout est plus beau, plus raffiné. La plus simple des servantes aurait pu faire une maîtresse de maison tout à fait convenables n'importe où ailleurs. Malheureusement quand un Dragon Céleste vous dit « viens chez moi », il n'y a aucun moyen de refuser. C'est aussi ça Mari Joa, une famille consanguine dont la parole fait loi.
Aussi, Margarette Hasamata dut embarquer avec Christophe Marie Lenôtre sans dire au revoir à quiconque ou emporter des affaires. La chose est particulièrement courante un peu partout dans le monde bien que ce jour précis, sur shabondy en eût vu bien d'autres, la proximité des premiers rois du monde ayant souvent transformée la mangrove en leur marché personnel. Sauf que dans le cas de la mère de Mobuchi, son kidnapper n'avait aucune intention de l’épouser. Fort de déjà plus de deux cents femmes, son cheptel n'avait pas besoin d'être renouvelé. Non, il voulait simplement un beau visage à contempler pendant qu'elle ferait le ménage dans ses appartements.
Margarette fut donc embarquée manumilitari par les agents en charge de la sécurité des Dragons Célestes. Bien entendu, ce n'était pas parce que son tortionnaire ne l'avait pas épousé que la jeune femme ne serait pas la victime de ses pulsions sexuelles . Ainsi naquit Mobuchi, dans un monde injuste, un monde qui ne l'avait pas désiré et dans qui, la seule personne à l'avoir jamais aimé fut simplement exécutée quelques jours après l'accouchement pour avoir mis au monde un gamin dont personne ne voulait.
Le garçon fut donc élevé dans un premier temps par les anciennes collègues de sa mère, le prenant en pitié. Toute se relayèrent pour que quelqu'un reste tout le temps avec lui. À son âge, quelques mois, la présence chaude de quelqu'un à ses côtés est tout simplement vitale. Le nourrisson finit par grandir, n'ayant plus besoin qu'on le berce ou lui donne de la potée. Gamin de six ans, il passait son temps dans les services ou simplement dehors quand ceux-ci étaient débordés. Plus rarement, il parcourait les majestueux couloirs de Mari Joa. Ces grandes fenêtres prenant tout l'étage, ces lustres ou encore ses peintures gigantesques au plafond, il observait tout ça avec des yeux ébahis cela le changeait des appartements exigus des serviteurs. Seuls soucis, on ne laisse pas rentrer un enfant dans un territoire aussi sacré facilement. S'il y mit rarement les pieds c'est parce qu’on le refoulait. Ces premières formes de rejets ne firent qu’exacerber la fascination qu'il portait à ce monde de luxe. Naquit pour la première fois son envie d'en faire partie alors qu'il n'avait que sept ans.
C'est aussi à cette période qui commença à comprendre les chuchotements du personnel de service. Les messes basses qu'il avait toujours connues dans s vie. Prie de pitié, on lui promettait une existence affreuse, au mieux. Alors comprit-il. Son ascendance, ce qu'il pouvait être. DEVAIT être. Tel marchant au bord du précipice, il força de plus en plus son entrée dans ce monde, s'imaginant à la place de ceux qui évoluaient dans les salles de danse, dans les petits salons ou aux tables de jeu. Il imaginait que telle personne était sa mère, telle personne son père ou son frère. Ainsi il rêva une vie où il n'avait pas été mis à l’écart, une vie qu'il aurait passée à sa place légitime...
chapitre 2 : Pile ou Face, tout est une question de destin.
À force de rester dans les parages, le pré-adolescent se fit remarquer. René- Charles Lenôtre, le patriarche de la famille Lenôtre en vint à demander qui était ce garçon toujours en bordure, toujours à l’extérieur des cercles d’intérêt, observant sans jamais participer. Marchant jusqu’à présent au bord du précipice, il tomba sans retenue, avec envie même, se jetant dans le vide. Trop heureux d'être enfin reconnu et accepté, la famille Lenôtre a le bras long, l'adolescent était incapable de voir qu'il était manipulé. Même si on lui en aurait parlé, qu'on aurait joué cartes sur table, il aurait quand même accepté le marché. C'était tout ce qu'il recherchait : Reconnaissance, pouvoir, savoir, ...
Son père lui se foutait royalement du rejeton. Les seuls moments passés ensemble étaient une demande du grand-père, comprenant les besoins du garçon et les intensifiant ainsi par petite touche en lui laissant entrevoir l'espoir d'une relation normale entre le bâtard et son géniteur. Mobuchi quant à lui, attisé par ses rares gestes d'attention, ne voulut qu'avec plus d'ardeur satisfaire son père. S’il sentait un devoir envers René- Charles Lenôtre, c'était amour et fierté qu'il cherchait avec Christophe Marie Lenôtre quitte à soigneusement oublier les périodes où il ne comptait pas pour son géniteur, où tous ses gestes forcé, figé que n'importe qui ayant connu l'amour d'un parent, le vrai aurait facilement identifié comme faux.
Pire que ça, cette soi de reconnaissance, le poussa à vouloir dépasser les exigences de sa nouvelle famille. À force d’évoluer à la frontière de ce monde étrange, il avait finit par noter les principaux sujets de discussion ou les tendances profondes de chacun et dans tout ça, une seule règle ressortait : la supériorité des Dragons Célestes. Alors, lentement, sûrement, il se transforma. Un changement inconscient, un jugement qu'il prit simplement à son compte, le fait de se rêver comme à un Tenryubito aidant forcement.
Mobuchi avait faim de tout. Bientôt, la simple reconnaissance qu'il cherchait auprès de son père se transforma en un motif comme les autres. Certes, il la voulait toujours et chaque acte de Christophe Marie Lenôtre remettait ce besoin au premier plan mais lors de la plupart de ses journées, il évoluait dans cette société avec un naturel de génie. Il était un Dragon Céleste. Il était supérieur au reste du monde de par sa naissance. Drapée dans de magnifiques vêtements, vivant dans des appartements plus grands que toute la cuisine qui l'avait vu grandir et étant instruit sur toutes les sciences qu'un être royal comme lui devait posséder, sa cage dorée, ne le rendait que plus fier de sa position.
Il développa avec son grand-père une relation proche de maître à élève. René-Charles Lenôtre le guida dans l'art de la diplomatie, art compliqué s'il en est, en gardant juste assez pour lui pour que l'adolescent ne perçoit jamais réellement son rôle de siège de poids à sacrifier au besoin. On l'emmena dans quelques rencontres d'ordre mondial comme le conseil des rois bien qu'il fît plus office de serviteur qu'autre chose. L'avantage était que personne ne fait attention au porteur de bagages, lui permettant de récolter nombre d’information et ainsi les ramener à son grand-père.
Chapitre 3 : Join the Naaaaaavy.
Venu ses dix-huit ans, Mobuchi était le parfait pion pour le patriarche de la famille Lenôtre. Celui le plus loyal, le plus compétent et aussi, facilement sacrifiable si besoin. Une œuvre d'art dans la manipulation d'enfant, pas de doute là-dessus. De fait, René-Charles estimait que le bâtard était un fruit ayant assez mûri, se gorgeant des paroles de son grand-père comme du soleil. Il décida donc qu'il était temps de l'envoyer faire ses classes dans la marine. Non pas pour un quelconque besoin de protéger les innocents ou lui apprendre à se battre mais d'infiltrer son meilleur homme dans un corps d'armée qui échappait petit à petit au contrôle du gouvernement.
On envoya donc le jeune homme en formation sur Grand Line d'abord, le niveau d'éducation étant bien plus élevé que sur les faibles et inoffensives blues. Le garçon arriva dans un environnement où la plupart de ses « camarades » avait déjà des années d’expérience derrière eux. Cela lui importait peu. Comme souvent, il ne fit que redoubler d'efforts voir tripler pour rattraper son retard et rendre son petit papa bien fier. Chose totalement vaine bien entendu. Le garçon finit par compléter sa formation, développant une nette préférence pour les combats à mains nues ainsi qu'à la maîtrise de l'épée. Des activités bien loin des attitudes habituelles des Dragons Célestes qui préféraient ne pas approcher leurs victimes, préférant leur tirer dessus ou donner l’ordre de les tuer avec dédains.
Mais Mobuchi n'est pas un Tenryubitto comme les autres. Tout dans sa vie l'a mis à part des castes principales. En l’occurrence, il n'avait pas de prédisposition « physique » pour le combat à mains nues ou l'épée. Non, le jeune homme était plus ou moins bon dans toutes les matières. Seuls sa volonté d'exceller dans ces deux disciplines l'amena au niveau qu'il possède. Il avait choisi d'être le meilleur dans le corps-à-corps pour la simple raison qu'il s'agissait là de l'élite humaine. Une arme qui n'était utilisable par un corps pur, pas entaché des mélanges inter-races. C'était la supériorité de l'homme, ni plus, ni moins.
Arriva la fin de sa formation avec remise de diplôme, ce dernier décroché avec mention par notre homme infiltré. Navigateur de talent, il fut chargé pour sa première mission d'emmener quelques-uns de ses camarades sur Saint Poplar, terre du marinisme. Il en avait vaguement entendu parler dans les baraques, ne s’attardant jamais sur une discussion d'homme de naissance moins énervé que la sienne. Sa venue au temple en traînant des pieds fut pourtant une révélation. Les fruits du démon et leurs utilisateurs. Ce qui n'était qu'une légende sur les blues devenait une rumeur facilement vérifiable sur Grand Line. Déjà auparavant, il n'aimait pas trop ses « pouvoirs magiques ». Une fois entendu le sermon du Grand-prêtre Seau Quarice, ce fut tel le passage la venue du beau temps après la pluie.
C'était tellement clair à présent ! Bien sûrs que les pouvoirs magiques ne pouvaient qu'être l’œuvre de puissance maléfique ! Pire que ça, ces hommes et femmes mangeaient ses fruits du démon consciemment, délaissant la pureté de l'être humain pour de devenir des monstres. Des ignominies. Des cafards, des insectes qui autrefois, ange avaient chuté et ne méritait qu'une chose : Être écrasé. Petits soucis par contre, les vrais adeptes du marinisme vénèrent une déesse aquatique et tout un panthéon de Dieu plus étrange les uns que les autres. Si Mobuchi regardait ça avec circonspection, le fait de vénérer tout objet ou personne venue de la mer tel un homme-poisson, ceci ne pouvait passer !
Qu'une bande d'hypocrites, voilà ce qu'était les marinistes aux yeux de l'Hasamata. Par respect envers leurs luttes contre les « déchus » tels qu'appelait le jeune homme des utilisateurs de fruits du démon, ce dernier garda sa déception et ses envies vindicatives pour lui. Pourtant, dans son âme, c'était clair, il ne ferait jamais parti des élus, simple soldat à envoyer au combat...exactement ce qu'il était pour son grand-père bien qu'il ne pût le reconnaître. Sa haine du monde extérieur ne fit que grandir, multiplié désormais par sa haine des fruits du démon. Une seule chose comptait pour le matelot, exterminer toute cette crasse, toute cette lie pour que l'homme pur puisse triompher et par homme pur, une seule classe existait : les Dragons Célestes.
De par ses capacités de navigation et ses prouesses au combat à mains nuent, on affecta Mobuchi à North Blue, la blue la plus dangereuse. Une affectation qui le réjouissait. Dès lors il pourrait exterminer tous ces insectes ne méritant rien de moins qu'un coup de botte les enfonçant jamais dans le sol, là où était leur place... S'ils étaient des pirates et bien tant mieux, il aurait des bons rapports de la part de ses supérieurs. Sinon, tant pis. Il suffirait d'un peu de doigté pour maquiller tout ça en accident....
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