HathorBandit des mers
Messages : 57 Points Omega : 22 Fonction : Capitaine et Proxénète Localisation : East Blue
Database Capacité 1: Logia du Magma Capacité 2: | Sujet: Hathor, Déesse de la Destruction et du Chaos Mer 14 Aoû - 23:12 | |
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HRP: NOTE: Aoi se prend pour une Déesse et ce, encore plus après avoir mangé son fruit du démon. Lorsqu'elle parle, elle se parle en "nous royal", mais dans la narration, elle parle à la première personne du singulier. Donc, ce n'est pas une erreur, c'est bien voulu.
Âge : 22,5ans Hathor, personnage créé dans SoulCalibur IV. Donc il vient de mon cerveau: Comment avez-vous connus One Piece Omega? Par Jackson Hayes
RP: Nom: D. Nakajima Prénom: Aoi Âge: 41ans Lieu de naissance: Alabasta Race: Dieu Humain Métier/Rôle sur un navire: Ex-Comédienne/Capitaine But: Régner d'une main de fer sur les trois mers (Les Blues, Grande Line et le Nouveau Monde) tout en proclamant haut et fort qu'elle est une Déesse toute-puissante et indomptable.
Capacité spéciale: Magu Magu - Fruit du Magma Permet de créer, de contrôler et de devenir du magma
Description de votre personnage:
Physique Empoignant de sa main gauche le cou d'un homme blessé à mort, Hathor regarda une dernière fois sa victime, puis, dans un moment d'euphorie indescriptible, la femme commença à faire son portait.
▬ Ahahahahah!!! Misérable cloporte, ne sais-tu vraiment pas qui nous sommes?! Tâche donc de t'en souvenir, car il en existe qu'une comme nous. Il est impossible d'oublier notre nom. Nous sommes l'incarnation du Mal dans ce bas-monde. Oui, les atrocités que la populace endure sont pour une noble cause, ahahahah!! Nous avons une belle tunique de Kimono finement brodée pour notre poitrine. Très assortie avec les horreurs que nous commettons par le feu et le sang, d'ailleurs. Ahahah. Notre long manteau en fourrure pourpre sert toujours l'expression de notre colère divin. Nous portons systématiquement une magnifique robe aussi rouge-sang que nos yeux. À cela, il faut ajouter que nous aimons marcher dans nos bottines raffinés aux couleurs marrons. Elles sont faites en cuire. À la lueur des incendies que nous provoquons, ils luisent d'un éclat agréable. Souvent, nos bottes sont les dernières choses que nos victimes se souviennent quand ils gisent lamentablement sur le sol fumant. Pour finir cette description, puisque tu ne nous connais pas, tu ne nous verras qu'uniquement dans ces mêmes teintes rouges flamboyants. Il faut bien que notre beauté et notre accoutrement reflètent avec perfection nos actions apocalyptiques. D'ailleurs, nous n'avons pas de ride, car nous avons la peau d'une Déesse! Nos cheveux sont soigneusement colorées d'un gris argenté vif, voir blanc si nous sommes un peu plus calme. Ce qui est plutôt rare... Enfin, les éventuels survivants auront peut-être la chance de nous voir sous un jour plus serein avec notre chevelure naturellement lisse et brillante, tombant au niveau de la chute des reins. Et maintenant, observe. Nous nous coiffons d'un magnifique diadème incrusté de rubis, signifiant alors toute notre puissance! Mouahahahah!!
La femme menaçante et prête à frapper le pauvre malheureux déclarait après une petite pause la suite de sa description. Elle le fixait de nouveau, mais avec plus de mépris cette-fois.
▬ Ce que nous venons de te dire concernait plus une description sobre. Mais maintenant, écoute-nous attentivement. Il est très rare que nous nous décrivons, surtout pour une personne de ton espèce, mais si nous le faisons, c'est pour que tu sache une bonne fois pour toute qui nous sommes. Nous détestons nous répéter, alors garde bien en mémoire nos paroles, chien! Notre sombre visage marque les esprits des faibles, mais aussi celle des puissances de ce Monde. Notre regard noir, donne de la frayeur à mes adversaires, misérables soient-ils. Nous sommes belle et nous le proclamons bien fort. Des comme nous, tu n'en verras pas deux, car nous sommes l'Unique Déesse, la seule véritable. Implore notre miséricorde et peut-être que nous te laisserons en vie.
Hathor, lâcha sa prise. Le pauvre homme tomba à genoux autour des décombres. Il suffoquait tellement la douleur était insupportable. Les flammes faisaient rage à proximités. La pirate lui tourna les talons, le laissant comme mort. Sans se soucier de son cas, elle lança sa dernière réplique après un rire démoniaque.
▬ Nous en avons fini de toi. Nous nous amusons plus de toute manière. Regarde désormais nos pas, car se sera la dernière chose qui te restera dans le crâne. Ahahah. Nous possédons une démarche sûre au point de pouvoir avancer lentement vers nos victimes. Tiens, regarde ton compagnon fou qui s'élance naïvement vers nous. Nous marchons avec fierté dans la gloire et l'assurance. C'est avec un tel déplacement que nous assénons nos meilleurs coups. Ahah. Nous adorons voir la souffrance luire dans vos yeux. Nous les entendons déjà nous supplier. Au fait, ton ami est mort. Quel imbécile...
C'est ainsi qu'Hathor s'en alla. Le feu dansant dans les ruines qui signaient son massacre. Sa présence influait la crainte et la peur des villageois. Après ces dernières paroles, l'homme amoché n'entendit plus que son rire satanique raisonner dans la nuit... Elle quitta les lieux du carnage et se dirigea vers son navire dans l'obscurité.
Mental ▬ Pour commencer, nous voyons tout individu de haut, quel qu’il soit. Normal pour un être tel que nous. Sommes-nous entêtée au point de ne pas voir le danger, aveuglé par notre stupidité de se croire supérieur? Si tu le dis, sot. Sache juste que nous nous prenons pour qui nous voulons. Donc, qui nous sommes? Une Déesse, évidemment! Une entité infâme qui aime voir la souffrance dans ce bas-monde. Nous incarnons le Mal absolu, ahahahah!! Comment ne pas être autrement? Il est plus facile de récupérer n'importe sur un vulgaire cadavre. D'ailleurs, en parlant de cela, quand nous disons "nous t'aimons", cela signifie "nous voulons" et non "nous donnons". Partager n'existe pas, seul l'avarice compte. Nous sommes une véritable opportuniste, une calculatrice et manipulatrice machiavélique en quête de destruction. Nous recherchons par dessus tout, l'adoration. Et tous les moyens sont bons. Pour ce fait, nous faisons naitre la peur en créant la désolation, mouahahahah!!!
Avec un égo aussi démesuré tel que le notre, il n'y a que "nous" qui nous importons, le reste nous nous en fichons. Lorsque nous avons décidée une chose, il vaut mieux pour vous de ne pas nous faire obstacle! Oui, nous nous mettons très vite en colère et pour peu de chose. Très exigeante, nous avons horreur d'être interrompue et contredit.
Niveau stratégie, nous nous efforçons de garder au mieux un coup d'avance. Nul ne peut savoir de quoi sera fait demain, alors il vaut mieux doubler sa vigilance. Seulement, nous sommes beaucoup trop aveuglée par notre désire que nous pouvons sombrer dans l’idiotie. Pour nous, il s'agit de l'assurance.
Histoire :
Hathor ne sait pas d'où elle vient, mais une chose est sûre, elle sait pleinement où elle va et qui elle est.
J'avais 5ans quand tout a commencé. Je me souviens encore malgré mon jeune âge, de l'homme que j’appelais -père-. J'étais orpheline, et je mendiais comme je le pouvais pour survivre dans ce monde. Je me demande encore aujourd'hui comment je faisais pour vivre avec mon état à cette époque... Quoi qu'il en soit, Iwao D. Futjisu fut le seul qui eut pitié de ma misérable condition. Était-ce ma beauté ou justement ma pauvre personne qui l'attira vers moi?
Cela me fut expliqué relativement tôt. En réalité, il n'avait pas de successeur pour relayer son entreprise de criminelle. Durant mon enfance, il m'enseigna l'écriture, l'histoire, les mathématiques ainsi que les sciences. J'étudiais déjà intensément pour ma petite tête. Parfois, je craquais sous le poids immense de ce que cela pouvait représenter, mais maintenant, je ne le regrette pas. Bien au contraire, cela portait des fruits en moi. Et grâce à ces savoirs, j'ai pu me faire une grande place dans ce monde... En plus de ces études, j'apprenais fortement et plus en particulier l'art du théâtre avec l'aide de son ami Miyazaki Watanabe. C'était vraiment important pour mon père. Je suis contente aujourd'hui de l'avoir fait, non pas pour lui, mais pour moi. En réalité, c'était pour sécuriser ma destiné. Grâce à la comédie, j'ai pu monter les échelons de la vie pour devenir ce que je suis actuellement. Un monstre. Oui, en me forgeant des personnalités diverses, je trompais mes ennemis ou encore les organisations que j'infiltrais. Mais au bout de 40 ans, à force de jongler avec les masques, mon esprit fut complètement corrompu par la plus terrible des bête que j'avais pu jouer...
Deux ans après m'avoir recueilli dans sa demeure, mon tuteur appela un maitre d'arme du nom de Ryo Itâ pour m'enseigner secrètement un peu d'art martiaux, le maniement de l'épée et du sabre. Mais surtout, mon professeur de théâtre fit de moi une professionnelle dans de ce qui est du pick-pocket et l'habilitée du déplacement furtif. Je m’entraînais sur des mannequins et c'était seulement à 15 ans que j'effectuais mon premier meurtre. Était-ce cela qui engendra la pirate que je suis? Quant à mon père, celui-ci m'apprenait comment tenir des discours et manipuler l’esprit afin de soudoyer les informations de mes ennemies. Je pouvais alors tenir plusieurs types de discours et parler aisément à n'importe qui pour devenir n'importe qui. Seulement, avec le temps ces savoirs-là s’estompaient.
Entre mes 15 ans et mes 18 ans, j'augmentais mes connaissances et mes performances de manière spectaculaire. La volontaire de mon père se réalisait. Bientôt, j'allais pouvoir reprendre le flambeau. Il se faisait vieux. Je devenais alors son outil, son bouclier. J'avais mes spécialités. Je volais, renseignais et parfois tuais pour le réseau d'Iwao dans tout Alabasta. Dans ces périodes, j'apprenais seule à devancer quiconque. Mais là, c'était une autre paire de manche. Mais aujourd'hui, je ne fais plus discrètement, car je suis pirate.
Ainsi, je m'habituais à cette ambiance, ces actes criminelles. Mon cœur s'endurcissait au fur et à mesure que je grandissais. Ce quotidien ne me déplaisait pas. Bien au contraire, tant qu'il y avait de l'argent à la clef, ces pratiques ne me faisaient ni chaud, ni froid...
Parallèlement, je devenais célèbre dans la ville grâce à ma pièce de théâtre ayant pour titre "La Déesse Hathor". J'avais évidemment le premier rôle où je jouais cette même personne. J'avais déjà interprétée d'autres pièces auparavant et toujours dans le succès, mais celle-ci fut la plus marquante pour tout le monde. La population me surnommait la Reine des Masques, mais moi je préférais Hathor... Ainsi, de jour j'étais une comédienne connue, la nuit une démone sanguinaire... Une seule personnalité est restée désormais. Pirate.
Bien sûr, je n'avais guère d'ami de mon âge. Je côtoyais principalement des adultes sans foi, ni loi. En fait, je devenais membre malgré moi au réseau anonyme de mon père. Je réalisais avant tout leurs desseins. Mais moi, ce qu'il m'importait à cette histoire, c'était d'être aussi libre que l'air, d'aller où bon me semblera. Un peu comme un pirate, quoi.
Un jour, alors que mon père me faisait tellement confiance, il me donna une boite, mais verrouillé. Il m'expliqua que l'objet à l'intérieur je le méritais, mais que je devais pour l'obtenir trouver la clef. Sur le coup, je n'avais pas spécialement recherché la dite clef en question, car cela ne m'importait peu. Iwao ne m'avait jamais dit ce que c'était. J'avais eu tort de l'avoir gardé fermé jusqu'à maintenant...
Alors, à mes majorités, je quittais le réseau sans un mot. Je décidais de faire ma vie sur les Blues pour commencer et peut-être un jour revoir mon île natale. Qui sait? J'étais consciente du danger, les risques que je pouvais endurer. J'avais de fortes chances pour que les hommes de main d'Iwao m'éliminent suite à mon départ, car étant membre de l'organisation, ils avaient peur que je les dénonce. Tout était possible à cette époque. Mais vu que je ne laissais pas de trace, il leur était difficile pour eux de me rattraper. Enfin, jusqu'à ce que je me fasse un nom en tout cas.
J'arrivais alors dans un premier temps à Logue Town où je décidais de forger une nouvelle identité, une nouvelle personnalité. C'était pratique pour se cacher. Et pour ce fait, je jouais la comédie. Je profitais aussi pour travailler à mi-temps au théâtre ou à l'opéra. Mais être une honnête citoyenne me laissais plus qu'autre chose. Je cherchais plus à faire de l'argent facile. Bien sûr, dans la branche où j'avais le plus de tallant, je trouvais des clients anonymes et des organisations pour me faire de thune. Je pouvais bosser pour une personne un jour, puis, un autre le lendemain. Il m'arrivait aussi que les services que je rendais donner lieu à tuer un homme dont j'avais agit pour lui la veille, etc. J'offrais mes services pour ceux qui avait besoin que je vole ou que je tue quelqu'un discrètement.
Un jour, pour le compte d'un inconnu je devais récupérer des lettres de marques. Ce fut une chose très délicate et lente. Pénible, même. D'abord, je fis tomber sous mon charme la cible. Il gagna alors peu à peu ma confiance. Je fréquentais de plus en plus cet homme dans le seul but de mener à bien mon devoir et ainsi donc, récupérer son héritage, mais aussi un nouveau nom. Oui, on s'était marié, mais dans le cadre du travail bien évidement. Je ne l'aimais pas du tout. Ce n'était qu'un jeu pour moi, rien de plus. Depuis, je porte pour toujours le nom de ses ancêtres: D. Nakajima.
En tournant autour de lui, je n'avait pas su maitriser certaine chose. En particulier, ma grossesse. Au début, je ne voulais pas de l'enfant, mais finalement, j’optais de le garder dans le seul but de me protéger. Oui, j'espérais pouvoir faire la même chose que ce que voulait Iwao pour moi. Entre temps, mon client me demanda d'assassinée mon propre marie. Ça tombait bien, je n'avais plus rien à faire avec lui et je lui avais dérodée ses lettres.
Bien sûr, à cause de mon état, j'étais contraint de stopper provisoirement mes activités. À la fin de mes 9 mois, je fus agréablement surpris. Je mis au monde deux beaux bébés. Un petit garçon que je nommai Ichimaru et une petite fille que j'appelai Yumi. Voyant cette dernière, je comptais bien l'utiliser pour m'offrir plus tard une protection. Or, à ses 18 ans, elle me quitta du jour au lendemain avec son frère. La barbarie n'était pas son tripe, pas plus que son jumeau, d'ailleurs. Ils peuvent faire leur vie, jamais ils ne se mettront en travers de mon chemin. Ainsi, j'avais répétée l'erreur d'Iwao...
Quelques années plus tard, il m'était impossible de tenir fermement mes rôles variés sans me faire pincer. Mes deux rejetons n'arrangeaient pas la situation. Parfois, je regrettais presque de ne pas les avoir tué... Finalement, je me débrouillais comme je pouvais pour être en mer. Pour ce fait, je volais un navire et j'assemblais quelques criminels, comme Natacha, ma navigatrice et Valentina ma cuisinière. J'aboutissais à une nouvelle personnalité: Hathor. J'abandonnais malheureusement mon métier d'origine. Tant pis, c'était le prix à payer, mais de toute façon, ça me coutait rien. À partir de là, je réalisais pleinement mon petit jeu. Je penchais alors pour un rôle qui me prenait de plus en plus le dessus. Je devenais quelqu'un d'autre. C'était fini les petits crimes par-ci par-là...
Je vécue longuement ainsi. Je pratiquais de moins en moins le pourquoi j'étais formée. J'avais rencontré de temps en temps des agents d'Iwao qui m'entravaient ma route, mais ils étaient pas assez fort pour m'avoir. Je me demandais des fois si je ne devais pas me débarrasser de l'entreprise de mon père... D'ailleurs, en parlant de lui, j'avais pratiquement oubliée cette fameuse boite... En l'ouvrant, je vis que j'avais raté ma vie. Je comprenais mieux pourquoi Iwao cherchait tant à me tuer... Il regrettait de m'avoir offert ce présent. Un fruit du démon! Une lettre accompagnait le fruit expliquant qu'il s'agissait d'un terrible logia, celui du magma... Et dire que j'aurai eu ma gloire 20 ans plus tôt!! Diantre...
J'ai maintenant 41 ballais, je vogue librement sur le profondeur bleu de l'horizon. J'ai bien rempli ma vie. Il était temps de se refaire. Je devais m'attaquer à des puissances bien plus importantes sur Grande Line. Ça commençait à être fatiguant de rester sur les Blues pendant 20 ans!
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